La Belgique « émascule » la sidérurgie liégeoise, dénonce la FGTB. Publié le vendredi 13 avril 2018 à 14h20 à BRUXELLES (Belgique) – (source : Belga)
La FGTB Métal Liège-Luxembourg qualifie l’annonce de la vente des lignes de galvanisation à Liège par ArcelorMittal comme « la plus mauvaise solution ». Le géant indien de l’acier veut se défaire de ses sites de Flémalle et Tilleur dans le cadre du rachat du site intégré italien d’Ilva. Le syndicat socialiste déplore un choix qui a, selon lui, été au moins partiellement approuvé par le gouvernement fédéral.
« Les accords qui ont mené à la constitution des groupes Arcelor, puis ArcelorMittal, prévoyaient que toute décision de rapprochement avec d’autres sidérurgistes devait être cautionnée par les gouvernements des pays concernés », souligne le communiqué de la FGTB.
Un choix d’autant plus regrettable que les sites liégeois sont « très largement rentables », poursuit l’organisation, qui dénonce la concrétisation du « vieux rêve d’éradication de toute sidérurgie à Liège » de la Flandre et du Luxembourg. Pour sauver une sidérurgie liégeoise « émasculée », la FGTB exige un repreneur « solide, qui ait déposé un plan industriel précis et explique, preuves à l’appui, comment il compte non seulement pérenniser, mais aussi renforcer les outils qu’il rachètera ». L’entreprise sidérurgique russe NLMK, déjà présente à La Louvière et Clabecq, a fait part de son intérêt pour ces sites. (Belga)
Il y a 50 ans que la FGTB elle-même a commencé à émasculer la sidérurgie liégeoise. Seuls les travailleurs de EMI ont compris que les grèves, en tant que sport régional, n’étaient pas une solution. Cette entreprise métallurgique liégeoise, continue à prospérer. C’est la preuve qu’une mentalité qui évolue, permet d’être compétitive.
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Il est bien tard pour se lamenter. Les Belgicains ont tout fait pour
détruire la sidérurgie liégeoise et autres activités localisées à
Liège. Rappelons les propos de l’ignoble flamingant Willy Claes
Pas un euro pour la sidérurgie wallonne. Et les syndicats auraient
du se scinder depuis longtermps se séparer de leurs amis(sic)
flamands. Jean Gol parlant des Flamands disait La Wallonie souffre,
ils rient. Et la Flandre peut compter sur d’innombrables wallons
collabos traìtres a la Wallonie et á la Francité
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Un signe positif de la FGTB liégeoise: assister à l’A.G.O. de l’AWF le 28 avril prochain ?
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A M Valmy pas trop tard pour leur envoyer une invitation, Qui sait
peut-ètre émergera-t-il de ce marais belgicain un nouveau André
Renard ? Pas une patte de flamand sur la place Saint Lamberft
Version actuelle a adresser aux Flamands(tous flamingants) bas
les pattes de la Wallonie et de la francophonie. Cessez de contraindre
les jeunes Wallons á aboyer flamand
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En contrepartie, il semble que :
Les demandeurs d’emploi wallons se tournent de plus en plus vers la Flandre RTBF info du 18-04-2018
Le nombre de demandeurs d’emploi wallons qui décrochent un job en Flandre a fortement augmenté l’an passé, rapporte De Tijd mercredi.
L’an passé, 22.415 demandeurs d’emploi wallons ont trouvé du travail en Flandre, soit une progression de 33% par rapport à 2016, selon les chiffres du ministre flamand de l’Emploi Philippe Muyters (N-VA). Jusqu’en 2015, le nombre de chômeurs wallons qui se tournaient vers la Flandre avoisinait 13.000 par an environ.
Philippe Muyters et son homologue Pierre-Yves Jeholet (MR) avaient promis début février d’aider 2.500 demandeurs d’emploi wallons en plus par an à trouver une occupation de l’autre côté de la frontière linguistique. L’objectif pour cette année est d’ores et déjà rempli.
« Il y a en soi plus de jobs et moins de demandeurs d’emploi en Flandre », affirme Thomas Pollet, le porte-parole du ministre Muyters. « Cela donne lieu à plus de postes vacants et plus de chances de succès pour un chercheur d’emploi. »
Tout cela semble bien beau et heureux ceux qui retrouvent du travail, même en Flandre, mais il faut pas bêtement rester belge pour autant. Tout citoyen français peut décrocher un emploi dans cette Région de Flandre comme partout en Europe !
Quelques Wallons en Flandre ne fait pas oublier l’immigration massive flamande au 19e siècle pour l’industrie, au 20e siècle pour reprendre les fermes sous la houlette du Boerenbond et au 21e siècle parce qu’il n’y a de bons bilingues NL/ « F » qu’en Flandre.
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