La France vue par le New York Times

et me retrouve dans 99 % de cette description de la France par le New York Times. Décidément, je suis bien un Wallon et donc un Français, ma définition du Wallon tenant en quelques mots : « le Wallon est un Français qui s’ignore. » Personnellement, je sais qui je suis et en suis oh combien heureux.
 
Que personne ne s’offusque : l’article dit bien « a le droit de … » .
Chacun a le droit aussi de ne pas apprécier l’une ou l’autre chose exprimée dans cet article. L’important est le choix  laissé à chaque Français sans se voir ostracisé par les différentes autorités du pays.
Personnellement, je déteste ne fut-ce que la fumée de cigarette et j’aime cultiver une certaine hygiène de vie , mais cela reste mon choix et n’engage que moi !
Paul DURIEUX

Ma France très bien résumée par les Américains :L’image contient peut-être : texte

 
 
 Cet article rejoint l’avis du magazine international  » LIVING ».
Je cite :  » la France est le pays qui a la meilleure qualité de vie grâce à son patrimoine culturel, culinaire et vinicole, mais aussi grâce à son infrastructure de transport et à son système de protection sociale, ce qui fait de la France la 1ère destination touristique mondiale. »  

 

6 réflexions sur « La France vue par le New York Times »

  1. Le peuple wallon mérite mieux que les politiciens de bas étage il
    attend un ou plusieurs hommes d’etat(le contraire des politiciens)
    qui opteront pour la reunion de la Wallonie á la France. Alors
    se réalisera la prophétie du Général De Gaulle. Il suffirait que
    Paris haussàt le ton pour que le Belgistan soit effacé de la carte

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  2. Un esprit gaulois irrévérencieux, sans doute. Une sensibilité hédonique, aussi. Comment s’en départir en effet ? Mais la France, c’est aussi la primauté de la raison par rapport à l’émotion suscitée par la conjoncture du moment, aussi métissée soit-elle.

    C’est aussi la primauté de l’état de droit à la fois allergique aux communautarismes linguistiques et ethniques et respectueux des droits de l’homme.

    Cette France, celle de FERRAT, c’est aussi la mienne, celle de mes racines.

    Cette France est à prendre ou à laisser, c’est vrai, mais sans exclure aucun de ses visages.

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  3. Sans vouloir vous plagier, Monsieur Durieux, permettez-moi de reprendre votre déclaration: « le Wallon est un Français qui s’ignore. » Personnellement, je sais qui je suis et en suis oh combien heureux.

    J’ajouterais le Wallon est un Français maintenu hors de de France, depuis le XIV e siècle. Il s’épuise depuis six siècles par nombre de luttes et de révoltes, d’ouest en est du pays wallon, à convaincre ses représentants politiques à entamer les négociations avec d’abord le Royaume de France puis avec la République française afin de rejoindre leur patrie naturelle.
    Consciemment et inconsciemment ils refusent d’être colonisé par la Flandre dans la glu monarchique d’une Belgique hier unitaire, aujourd’hui fédérale, demain confédérale dont les choix sociétaux anglo-saxons sont aux antipodes de ce qu’il veut vivre et partager.

    1789 fut terrible et horrible mais offrit aux cousins de France le plaisir de se moquer, depuis longtemps et sans danger, des prélats et des politiciens. Ce bonheur toutefois se fragilise par la transfusion d’une idéologie cultuelle incompatible qui réintroduit sournoisement la crainte du prélat par le discours toursiveux du monde politique.
    La retour de la Wallonie à la France pourrait servir d’électrochoc salvateur de Waterloo à Marseille !

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  4. En emphase avec l’avis, mais quand un médiocre politique comme Macron ne sera plus président : Mélenchon oui, Macron non ! Insoumis je suis, insoumis je resterai…

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  5. Depuis la création artificielle de la Belgïe, tout est mis en œuvre pour écarter les Wallons de la France. Flamands, Bruxellois et belgicains wallons font un travail de sape, de dénigrement de la France. Aujourd’hui plus qu’hier, la propagande bruxello-belgicaine va plus loin et plus fort en sapant non seulement le lien Wallonie-France mais carrément en sapant l’identité wallonne. Ceci alors que de son côté, la Flandre avance dans son union avec la Hollande. Une union dans laquelle, et sans notre avis, la Flandre va nous entraîner avec l’appui des belgicains qui y voit le seul moyen de garder le brol Belgïe uni dans l’entité orangiste des Grands Pays-Bas. Déjà dans nos médias belgicains, on ne parle plus des Wallons mais des francophones dont la référence est BXL. Et progressivement, on nous parle de plus en plus de la Hollande, le modèle qu’on nous impose !

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