L’ avenir de la Wallonie vous intéresse ?
Vous refusez de garder la tête dans le sable dans lequel vous maintiennent nos médias ?
Vous êtes un citoyen libre et soucieux de savoir, mais aussi de vous exprimer ?
Alors, vous participerez à la conférence donnée par Paul Mélot le jeudi 25 octobre 2018 à 19.30 à la Maison de la Laïcité de Herstal 55, Rue Dumonceau à 4040 Herstal.
Paul D.
ALERTE AUX MANOEUVRES D’EMBROUILLEMENT DES ESPRITS !
Les Wallons encouragés à postuler en Flandre.
L’an dernier, 27.000 Wallons ont bénéficié de l’aide du Forem pour trouver un emploi au nord du pays ( RTBF Info 08/10/ 2018 ). Cette année la Flandre recrute en Wallonie et pas besoin de connaître le néerlandais pour postuler (10/10/2018 RTBF Info)
Travailler en Flandre ? Certains Wallons n’y pensent même pas alors que les opportunités d’emploi y sont nombreuses. 51 000 Wallons vont déjà travailler chaque jour en Flandre dans des entreprises flamandes où l’on parle français. Le VDAB collabore avec le FOREM et Il existe aussi le projet européen Emploi sans frontière.
Sans mentir tout cela semble aussi beau que le ramage et le plumage de Maître Corbeau. Mais il ne faudrait pas que par ce biais le Wallon devienne le Phenix victime du renard belgicain. Nombre de citoyens français travaillent en Flandre sans perdre leur âme et leur fierté nationale.
IL NE FAUT PAS RESTER BETEMENT BELGE POUR ALLER TRAVAILLER AU NORD DE LA FRONTIERE LINGUISTIQUE NI AILLEURS !
Comme Ulysse n’écoutez pas le chant des sirènes belgicaines qui vous déclineraient à la mode Jacques Brel les dix bonnes (Ndlr : loufoques) raisons d’être fier et content d’être en Belgique par rapport à la France (Guillaume Guilbert & Alice Dulczewski 21/04/ 2017 RTBF Info)
1. Eldorado de la bière ;
2. On se sent à l’étranger en prenant l’autoroute de Tournai (Doornik) vers Brussel (Bruxelles) parce qu’on traverse trois régions ( la Wallonie, la Flandre et Bruxelles).
3. Des festivals de musique très sympathiques ;
4. Des études sans concours d’entrée – sauf exceptions – dans les grandes universités du pays ;
5. Les frites ! ;
6. Les chicons (l’endive) au gratin ;
7. Dire septante, c’est quand même bien plus facile que soixante-dix ;
8. 541 jours sans gouvernement parce que les clés du pouvoir sont réparties entre cinq gouvernements (fédéral, régionaux et communautaires).
9. Idéal pour les cinéphiles ;
10. Echapper à l’ISF.
En cas d’hésitation rappelez-vous « Le Catéchisme du Wallon » d’Albert du Bois, le chantre de la Wallonie française :
Les Wallons appartiennent à une grande une famille.
Les membres de cette grande famille, qu’on appelle une Nation, ont dans les veines le même sang.
Il pourrait arriver, et ce serait pour nous une déchéance sans nom, comme le désirent un certain nombre d’avocats bruxellois qui ont renoncé à leur langue maternelle que nos âmes françaises se transforment en « âmes belges ». Il ne faut à aucun prix que cela soit !
Chacun chez soi !
Que les flamands restent flamands, que les wallons restent français !
Nous autres bons wallons de Mons, de Tournay, de Charleroy, de Namur et de Liége, nous devons conserver intacte notre nationalité.
Nous devons conserver intactes nos âmes françaises et nos consciences françaises.
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Ceci ne serait pas une preuve mais un indices sérieux de notre nationalité française cachée !
Fiers d’être Belges francophones ?
La Wallonie est un îlot à travers l’Europe où il n’y a pas ces partis populistes, ces partis d’extrême droite qui ont une force partout ailleurs. « Je pense que la raison principale de la difficulté de percer pour l’extrême droite, c’est notamment le problème de l’absence d’identité en Wallonie. C’est très difficile pour un parti d’extrême droite de vivre dans une région où les gens n’ont pas une identité collective forte. Quand on crie « Vive la France » en France, on sait bien de quoi on parle, même si c’est un peu flou sur les contours. Quand on dit « Leve Vlaanderen » en Flandre, on sait bien de quoi on parle. Mais si on dit « Vive la Wallonie », on ne sait plus trop si Bruxelles est dedans ou pas, on ne sait pas trop si Charleroi est sur le même pied que Liège, et si on veut crier « Vive la communauté française de Belgique », tout le monde est endormi avant la fin de la phrase. On a donc un vrai problème d’identité collective, qui fait que nous sommes obligés d’être ouverts, etc. Et donc, c’est vrai que ce système fait que l’extrême droite n’a pas de prise facile. Vous vous souvenez dans les années 90, il y avait même deux partis d’extrême droite qui s’affrontaient, l’un wallon et l’autre belgicain. C’est effectivement une vraie difficulté pour ces partis-là. Ils ne savent pas dire : « Les autres dehors, puisqu’on sait plus où s’arrête nous ».
(Pierre Verjans, politologue à l’ULG: « cette élection est un coup de semonce pour les 3 partis traditionnels » RTBF INFO du 16/10/2018)
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La L.L.B. relaie l’agence Belga ce lundi 22 octobre 2018.
Elle informe le « bon peuple de Belgique » du programme des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale à Ypres( lire : Ieper ). is Sharing Buttons
Ypres commémore l’armistice pendant trois jours avec de nombreux événements et cérémonies.
Le programme élaboré à l’initiative du gouvernement flamand a été présenté lundi.
La ville se prépare à recevoir 10.000 visiteurs parmi lesquels le Roi des Belges et son épouse. Le dimanche 11 novembre s’achèvera la commémoration de la Grande Guerre qui a duré quatre ans. L’évènement sera commémoré pendant trois jours à Ypres, du 9 au 11 novembre.
La ville d’Ypres s’attend à une importante affluence du public.
Tous les hôtels d’Ypres affichent complets depuis des mois et 1.500 personnes prendront part à la parade du coquelicot.
Le gouvernement wallon aurait-il omis d’informer BELGA des commémorations prévues sur son territoire ?
Ou bien faut-il considérer que la Wallonie fut épargnée comme les Pays-Bas de ce fléau récurrent germanique ?
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Pour un wallon, que signifie encore de porter une étiquette « Belge » ?
Il n’y a plus aucun Belge, et encore moins de Wallon, dans le comité de direction d’Ahold Delhaize.
Delhaize, une enseigne de supermarchés créée en 1867 à Ransart, près de Charleroi par les frères Jules Delhaize et Auguste Delhaize avec l’emblème d’un lion appartient actuellement au groupe Ahold Delhaize. La société mère exploite des magasins Delhaize en Europe, en Asie et aux États-Unis. Le siège social se situe à Molenbeek-Saint-Jean dans la rue Osseghem.
De wallonne l’enseigne devint hélas « belge » et l’entreprise passée aux mains du groupe belgo-néerlandais de supermarchés Ahold Delhaize ne compte plus de « Belge » dans son comité de direction. Marc Croonen, un « bon belge de Flandre » diplômé de la KUL quitte l’entreprise après avoir mis en œuvre la nouvelle stratégie de transformation du groupe ( implémentation en franglais !) Pour le porte-parole d’Ahold Delhaize, l’absence d’un Belge dans le comité de direction d’un groupe belgo-néerlandais n’est pas un problème (Ndlr: bien évidemment pour un Néerlandais). « Nous sommes une entreprise internationale. Soixante pour cent de notre chiffre d’affaires vient des Etats-Unis. Notre comité de direction est international. »
Question pertinente : Comme Wallons que faisons-nous encore dans ce pays qui n’est plus qu’un cul-de-sac néerlando-anglo-saxon, à l’image d’Ahold Delhaize où nous ne représentons plus rien ?
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