La Communauté germanophone ose penser à l’indépendance

6 réflexions sur « La Communauté germanophone ose penser à l’indépendance »

  1. Ah ben si les germanophones s’y mettent aussi!!! Tant mieux! Plus vite tout l’monde se rendra compte de ce qu’est devenu cette Belgique (ce qu’il en reste…) plus vite chacun partira vers son destin, vers d’autres horizons… Je verrais plus les germanophones avec l’Allemagne, bien qu’ayant travaillé du côté de Burg-Reuland, ceux-ci ont pas mal d’accroches avec le Grand-Duché (ils parlent luxembourgeois à la frontière là), effectivement!!! Mais bon, cette communauté choisira bien pour elle-même ce qu’il y a de meilleur…
    Nous, Wallons, notre meilleur avenir, c’est la FRANCE!!!

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  2. Il serait grand temps que la Wallonie se prenne en main, hors PS et federation wallonie bruxelles (ineptie crée pour un gars sans poste) et se rattache, éventuellement à la France, alors qu’il y trop de nettoyage a faire dans ce petit département !!! Pour ma part, je vis en France, et m’en félicite tous les jours !!! Comment ne l’ai je pas fait plus tôt ?!!!

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  3.  » (…) il n’a plus d’espoir à long terme que la Belgique actuelle soit encore utilisable (…) ». Apparemment, voilà le CDH qui fait la révolution à la place du peuple amorphe. A qui peut-on encore se fier ?
    C’est le monde à l’envers !

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  4. Si les politiques wallons adoptent les manières des Flamands, il ne faut pas s’attendre à ce que les Germanophones s’attachent à la Région wallonne. A ce train là, ils se souviendront très rapidement que leurs ancêtres étaient prussiens !

    Le mépris de Maxime Prévot pour les germanophones
    12 juillet 2017 | Auteur : GrenzEcho | Traducteur : Ludovic Pierard | Temps de lecture : 2 minutes
    Le gouvernement de la Communauté germanophone s’indigne des déclarations « arrogantes » de Maxime Prévot à propos des Cantons de l’Est.
    Lors d’une séance en commission du parlement wallon le 27 juin, la députée de langue allemande Jenny Baltus-Möres (MR-PFF) avait interrogé le ministre régional des Travaux publics, Maxime Prévot, sur la possibilité d’installer des panneaux de bienvenue en allemand (« Willkommen in Ostbelgien ») sur le territoire de la Communauté germanophone.
    Une demande rejetée par le ministre. (…) « (…) les Germanophones sont des Wallons de langue allemande, certes, mais Wallons quand même. » (…) « le Corse est toujours un citoyen de la République française, le flamingant est toujours un Belge, et un Germanophone est institutionnellement un Wallon ».
    Ces déclarations n’ont pas fait rire à Eupen. (…) « (…) Nous ne nous sentons pas wallons. Nous avons notre propre identité et notre propre langue. (…) les remontrances hautaines exprimées par le ministre Maxime Prévot sont arrogantes et stériles », a affirmé (…) Oliver Paasch (ProDG), ministre-président de la Communauté germanophone.
    Pascal Arimont, président du bureau régional de la CSP, a également réagi avec indignation au nom de son parti : (…) même si, selon le droit public, le territoire de langue allemande se situe en Région wallonne, nous nous sentons belges germanophones, et pas le moins du monde wallons. (…) Les politiciens wallons de tous bords feraient donc preuve de respect à notre égard en arrêtant de remettre sans cesse notre identité en question. (…)

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