Lu ce 3 septembre sur le site de « Impératif français » :
Cet avertissement sérieux d’une paix linguistique menacée par le non-apprentissage du français provient de nul autre que le chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, M. Michel Leblanc.
Alors que l’anglicisation des jeunes francophones au Canada atteint 55 %, le taux d’exclusion, d’unilinguisme béat, d’incapacité de parler français chez les jeunes anglophones serait de 87 % ! Le Québec et la francophonie canadienne, le français, langue officielle canadienne, n’existent pas. Le Canada est anglais.
Le député libéral de Mont-Royal, Anthony Housefather, « fait remarquer que le Québec avait du mal à retenir les anglophones » (ou allophones), et il ajoute : « Nous devons trouver des moyens pour encourager les jeunes anglophones (et allophones) à se sentir bien au Québec pour qu’ils y restent. »
Pourtant des cours de français, il s’en donne! Le français est langue officielle du Canada et du Québec, la langue commune de la diversité québécoise, langue commune d’usage public, langue de travail…
Pour en savoir plus sur les pratiques d’exclusion canadienne, lire : La Presse canadienne : Des inquiétudes soulevées sur le bilinguisme (des anglophones) au Canada.
Très interpellant effectivement, pour nos amis Québécois!!! J’ignorais totalement quant à l’existence d’une possible fusion USA-Canada…
Ben sinon, pas grave, le Québec n’a qu’à se proposer à la France en tant que DOM-TOM…N’y avait-il pas à un moment donné un projet d’indépendance du Québec (un peu à l’image des écossais)???
Les français qui agrandiraient la Métropole avec la Wallonie et les DOM-TOM (Guadeloupe, Martinique, etc…) avec le Québec…
Ca serait pas beau tout ça…
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Cela ressemble furieusement à un petit royaume sis » à deux cents mètres de l’Arabie Saoudite » où deux peuples se voient toujours obligés de vivre ensemble depuis presque deux cents ans. Or, comme l’écrit à ce propos un correspondant Québécois, » Pour pouvoir «vivre bien ensemble», comme semble le souhaiter Michel Leblanc, il faudrait donc que tout le monde soit bilingue au Québec. »
Comme dans le petit royaume sis » à deux cents mètres de l’Arabie Saoudite « , « On dirait que ce monsieur ne se rend pas compte que si cela se faisait ce serait la disparition du français qui surviendrait inévitablement parce que c’est l’anglais qui prendrait le dessus, ce serait démissionner. »
Comme au Québec, les représentants politiques de langue française (Wallons et Bruxellois) oeuvrent en sens contraire de l’intérêt de leurs concitoyens; ils travaillent franchement pour l’ennemi !
Le gros problème, il n’existe pas à Paris un homme de la stature de Charles De Gaulle.
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