Ils ne savent pas que frapper Paris, c’est réveiller le goût de la liberté et le feu des révolutions qui l’ont fondée. Ils ne savent pas que frapper Paris fait monter de la mine et descendre des collines. Ils ne savent pas que frapper Paris enfièvre la défense de la vie contre la mort.
Philippe Raxhon U.L.G.
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4 réflexions sur « Paris en a vu d’autres…! »
FLUCTUAT NEC MERGITUR . La devise de Paris, très pertinente à travers les siècles !
Nous sommes en guerre… en guerre contre l’obscurantisme et la barbarie !
Comme il y a soixante-quinze ans, avec la France, nous combattrons « la bête immonde » ; et nous vaincrons.
Le problème c’est que nous devons aussi lutter contre nos « élites » tant politiques qu’économiques asservies à l’ultra-libéralisme. Ce sont ces gens qui ont permis à la « bête immonde » profiter de l’immigration musulmane. S’il fallait des migrants travailleurs, pourquoi ne pas s’être tourné vers les européens de l’Est et du Sud ?
Permettez-moi de faire une digression et de rappeler le livre de Monsieur Philippe Raxhon : La Marseillaise ou le devenir d’un chant révolutionnaire en Wallonie. Le Chant des Wallons fut actuellement choisi politiquement ( qui le connaît aujourd’hui ?) mais une loi peut être modifiée. En page 57, de l’ouvrage précité, on lit: » Par ailleurs, on sait que l’adoption d’un chant national wallon fit l’objet d’un concours organisé en 1902 par la Ligue wallonne de Liège présidée par Jules Delaite, et que fut retenu Li Chant des Wallons de Théophile Bovy et Louis Hillier. Mais il existe deux autres chants des Wallons sur l’air de la Marseillaise, l’un d’Emile Gérard, Li Chant des Wallons, couronné au concours spécial de 1900 de la Ligue wallonne de Liège, et l’autre de Louis Lagauche (…).
Ne serait-ce pas utile de relancer la question du chant de la Wallonie et de préférer une Marseillaise wallonne en attendant la française, question de faire évoluer les esprits ?
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