Quand la santé est en jeu, en Wallonie et pour les Bruxellois de langue française, on impose un numerus clausus aussi rigide que le corset des dames du temps jadis, on impose sept examens par jour aux carabins de demain, on ergote quant aux finances des centres de garde… Tant pis pour les ruraux : ils apprendront à courir demain (dans tous les sens du terme) pour être soignés !
Quand la santé est en jeu, en France, Marisol TOURAINE, ministre française de la Santé, décide de moduler le numerus clausus en fonction des pénuries et de débloquer des moyens en faveur des maisons médicales.
Cela se passe « près de chez nous » où l’on pense autrement. Le retour des frontières, mentales dans ce coup – là !!
J. L. Lefèvre, Emptinne
C’est étrange, la gauche wallonne se met au diapason de la mentalité des décideurs de Flandre comme la gauche française se met au diapason de la mentalité des décideurs de l’Allemagne ? Comparaison vaut – elle raison en ce cas ??
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