La performance d’ Elio sur la PREMIERE radio de la RTBF où il n’a pas manqué de rappeler qu’il avait sauvé une Belgique au bord de la scission a été tout simplement remarquable. Sans lui et son célèbre slogan : « mon parti, c’est mon pays (entendez la Belgique) », la Belgique n’existerait plus…!
Lu sur le site de « l’Avenir »
Di Rupo : c’est la faute aux journalistes
Contesté à la tête de son parti ? Pour Élio Di Rupo, ce sont les journalistes qui créent les problèmes.
Contesté à la tête de son parti ? Pour Élio Di Rupo, ce sont les journalistes qui créent les problèmes
Si le PS baisse dans les sondages, c’est la faute aux journalistes. Son leadership est contesté ? Ce sont les journalistes qui créent les problèmes où il n’y en a pas. Sur la Première, Élio Di Rupo a été très caliméro.
Le PS accuse un coup de mou et le 1er mai, il s’est fait voler la vedette par le PTB avec sa proposition de la semaine des 30 h : le PS n’aurait-il pas un problème de leadership ? Autant de remarques qui hérissent le président Di Rupo. Le PS va très bien, le PS se régénère et si on ne le voit pas, c’est la faute aux journalistes qui ne relaient pas la communication. Bardaf. Voilà en substance la teneur des propos tenus sur la Première de la RTBF.
L’homme n’aime visiblement pas qu’on le remette en question. Et si le journaliste insiste sur ce point, il est qualifié de monomaniaque. N’est-il pas contesté au sein de son parti ? Sa réponse est surprenante : beaucoup de leaders socialistes font l’objet de critiques mais, lui, il se tait. Bref, on en est à «celui qui dit qui l’est.» Il serait donc au-dessus de la mêlée. Et de repasser les plats : ce sont les journalistes qui créent ces problèmes où il n’y en a pas.
Quant à sa présidence, c’est on ne peut plus clair: «Je suis celui qui est élu et qui travaille en équipe.» À bon entendeur, j’y suis, j’y reste. N’y a-t-il pas une question d’incompatibilité d’images ? Entre l’ancienne du premier ministre et l’actuelle présidentielle ? La réponse est assez surprenante: «Je suis premier ministre et je mets cette expérience au service des militants.»
C’est peut-être là le problème: Elio Di Rupo n’est plus premier ministre et le PS n’est plus dans la majorité fédérale. Difficile de ne plus vivre sous les projecteurs.
BELGA LAURIE DIEFFEMBACQ
Combat d’arrière-garde, mené par un vieux belgicain !
J’aimeJ’aime
Oui, mais il s’entête et le PS le suit, notamment à l’aide de l’immigration toutes générations confondues ! Il semble étrange que le présent sondage de « l’Université de Louvain » (mais laquelle ? RTBF et RTL ne spécifient que rarement) accrédite un regain de belgitude au Nord et au Sud ?
Il est vrai que « Je suis Belge » et » Ik ben Belg » semblent similaires mais le contenu diffère dangereusement au détriment du « Belge », qui ne veut pas le savoir.
Combien de temps la NVA et le Mouvement flamand pourront-ils tenir la pression identitaire sur la Flandre ?
J’aimeJ’aime