Nous vous livrons le billet d’humeur de André Dumont.
Par ses écrits partisans et contradictoires, Béatrice Delvaux, éditorialiste en chef du quotidien « Le Soir », discrédite l’organe de presse francophone reconnu pour l’objectivité de ses rédacteurs et la défense de nos fondamentaux démocratiques.
Après les élections de mai 2014, non conformes aux prévisions du « Soir » qui situait la N-VA en-dessous des 30 % des votes flamands, Béatrice Delvaux n’a cessé de vouloir nous convaincre qu’il était impossible d’associer la N-VA dans une coalition fédérale de gouvernement.
Avec de gros titres et photos à l’appui, « Le Soir » a relayé les outrances verbales et les gesticulations ostentatoires de Laurette Onkelinx, porte-parole du P.S. à la chambre avant même de connaître le programme gouvernemental. Par ailleurs, elle a incité les syndicats à descendre dans la rue en annonçant notamment des mesures sociales restrictives pour les chômeurs prises par le gouvernement Di Rupo !
Après avoir déballé le passé ultra-nationaliste des ministres N-VA et leur participation à des manifestations séparatistes – ce que personne n’ignorait – Béatrice Delvaux a voulu nous faire croire à l’éclatement de l’équipe MICHEL – PEETERS avant même qu’elle n’entre en fonction. Elle n’a cessé d’attiser la zizanie entre le CD&V et la N-VA, alors que ces deux partis s’égratignent pour la galerie, tout en étant solidaires pour conduire la Flandre vers l’autonomie.
Dans l’édition du « Soir » des 21 et 22 mars 2015, Béatrice Delvaux dans son édito concernant une éventuelle réforme fiscale écrit : « …d’autant que ce gouvernement dispose du laps de temps souhaitable pour mettre ce grand travail en chantier. » (sic)
Aujourd’hui, Béatrice Delvaux croit en la durée du gouvernement fédéral.
Madame SOLEIL de la Belgique évanescente prend ses lecteurs pour des canards sauvages. C’est regrettable pour qui dispose d’une plume aussi talentueuse.
22 mars 2015 André Dumont
N’oublions pas également sa sortie au sujet de l’affaire Strauss-Kahn où elle expliquait que la France, oui la France, avait perdu son honneur dans un hôtel new yorkais
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