Lu sur le site du journal La Province :
Le groupe français Hiolle Industries veut s’implanter à Mons-Borinage et créer une entreprise de déconstruction de voitures ferroviaires (70 emplois à la clé).
Un grand groupe industriel français veut s’implanter à Mons-Borinage. Spécialisé dans la déconstruction ferroviaire, Hiolle Industries cherche un bâtiment proche d’une voie de chemin de fer. Une activité porteuse de 70 emplois.
En 2013, le groupe Hiolle Industries (700 emplois) créait une filiale baptisée Nord Ferro spécialisée dans le désossage de voitures de chemin de fer ou de métro. Fort de cette expérience dans le nord de la France, Jean-Michel Hiolle, patron du groupe, souhaite à présent étendre son activité en s’implantant en Hainaut. Les premiers contacts ont été établis avec le « voisin » belge Eric Thiébaut, bourgmestre d’Hensies et député (PS) fédéral.
Ce mercredi, le projet a pris une tournure plus officielle en réunissant la direction de Hiolle Industries avec le président de l’intercommunale IDEA, Marc Barvais, sa directrice générale Caroline Decamps, et le député hensitois.
Pour Hiolle Industries, l’intention de s’implanter en Belgique ne laisse planer aucun doute. « Notre volonté est d’aller chez vous si possible déjà en 2015 », lance Xavier Bleu, chef de projet chez Nord Ferro, lequel a patiemment décortiqué depuis des mois les législations fédérale et régionale en matière d’environnement, très proches de la législation française. « Mais nous n’irons pas sans vision réelle des besoins de la SNCB. »
La réunion de travail de ce mercredi avec l’IDEA a permis d’évaluer les besoins d’Hiolle Industries pour venir s’implanter à Mons-Borinage.
« Il faut trouver un bâtiment existant de 2.000 m², précise Jean-Michel Hiolle, éloigné des habitations et proche d’une voie ferrée. La présence d’une voie fluviale n’est pas nécessaire. Au niveau de l’emploi, sachant qu’il faut six personnes pour désamianter une voiture, six pour le dégarnissage, et six autres pour diverses opérations, et que nous tablons sur 200 wagons par an, cela représenterait 70 emplois à moyen terme. »
Cl.W.
Encore faut-il que la NMBS confie ce travail a une firme francaise la rien n’est gagné. La NMBS
a préféré Siemens au francais Alstom cela nous donne le matériel défectueux actuel mais
la francophobie est ancrée dans la Belgie
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Encore une grande victoire wallonne la suspension du Thalys wallon le flaimngant van de Lanotte
avait prevenu suppression en Flandre vaut suppression pour les Wallons ces citoiyens de
seconde zone
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