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« Vous avez choisi la soumission, vous aurez la scission. »

Cette fois, c’est Jean Quatremer qui l’écrit sur son blog, en conclusion d’un article qui tranche avec l’euphorie de certains journalistes ou médias de la FWB. Pour illustrer son texte, il a choisi la photo d’une autruche. Rappelons que Jean Quatremer est le correspondant permanent du journal français Libération à Bruxelles. Chargé de couvrir l’actualité européenne, il est devenu, par la force des choses, un observateur pointu de nos différends communautaires. Son article est à lire ici.

A Dunkerque, la déglingue de la Belgique fait des heureux

Lu dans la presse locale (Le Phare dunkerquois) :

La crise belge profite au tourisme dunkerquois

Comme partout en France, l’été n’a pas vraiment pointé le bout de son nez sur la côte dunkerquoise. Pourtant les touristes belges, en particulier wallons, sont venus en nombre profiter des équipements…

Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Les professionnels du tourisme dunkerquois ne s’attendaient sûrement pas à profiter de la « guerre » qui sépare Wallons et Flamands.

Pourtant, force est de constater que cet été, les touristes « belges », en particulier wallons, ont été plus nombreux : +38 % parmi la clientèle étrangère habituelle. (…) « Les Wallons, apparemment, aiment l’accueil, constate Sabine Lhermet, directrice de l’office de tourisme de Dunkerque. Beaucoup d’hôteliers, toutes catégories confondues, ont fait remonter ces remarques. » L’attrait des établissements maritimes serait donc aussi simple qu’un « Bonjour, que puis-je faire pour vous ? » en souriant ? « Pour eux, l’accueil est effectivement bien meilleur ici qu’en Flandre, assure Stéphane Paganini, gérant de l’Hôtel de la plage. Le contact avec les gens leur est beaucoup plus agréable étant donné qu’avec les Flamands, c’est très compliqué. Ils n’y sont pas bien reçus. » Le divorce est en effet consommé. (…)

Pour l’ensemble de l’article : ici .

Quand on sait que tout est fini…

Le temps est suspendu. Avant de se quitter, on refait le tour des occasions manquées.  On se recroqueville dans sa mémoire. On se dit que ça ne pouvait pas marcher, on se demande même comment on a pu vivre ensemble aussi longtemps. Trop de malentendus. Le passé revisité pour mieux rebondir. Car la vie, elle, ne s’arrête pas.

C’est ainsi qu’on peut interpréter la démarche de Jos Bouveroux, auteur de « De barst in België » (« La fracture belge« , éditions Van Halewyck), un livre dont le chroniqueur Jan De Troyer rend compte dans la Libre : ici.